Commencer à nouveau, c’est prendre la responsabilité de sa vie.
Dans le petit livre que je reçois des éditions Jouvence, Ose le renouveau, Anselm Grün rappelle qu’à l’origine, le mot commencer vient d’empoigner, prendre en mains.
Oui, je peux toujours recommencer et organiser le matériau vital qui m’a été donné.
Parfois, ce matériau est un amas de débris, restes de mes rêves brisés. Mais un nouveau vase peut être réalisé en collant des débris.
Il ne sera plus aussi parfait que l’ancien mais il aura gagné en créativité, et même, être devenu plus coloré et plus vivant.