Rien de tel que de se mettre en mouvement pour que de nouvelles idées se présentent à soi.
Peut-être est-ce d’abord là tout l’intérêt d’être nomade (plutôt que sédentaire) ?
A force d’être confiné, vous ne pouvez pas vous empêcher de ruminer. Et puis, vous sortez, pour faire les courses bien sûr, pas pour prendre le soleil sur un banc dans le parc en face chez vous, non.
Quelques pas suffisent, soudain, vous comprenez tout : la situation actuelle invite les humains à incarner un profond désir oublié, le désir de Vivre à pleins poumons !
Oh ! Il y a beaucoup de sons de cloches, à l’approche des Joyeuses Pâques. Les opinions divergent.
Il y a ceux qui pensent devoir la pandémie au pangolin, d’autres à la fabrication dans le laboratoire scientifique franco-chinois de Huan.
Des qui défendent le port du masque par tout le monde tout le temps, des qui pensent le contraire.
Les mesures prises sont jugées idiotes et brillantes. Certains se font prophètes quand d’autres en profitent pour faire leur publicité, toute occasion est bonne pour faire du profit.
Soit nous sommes de bons citoyens soit nous sommes dociles comme des chiens ou enragés comme des loups.
Peur de la mort, cela semble évident …
Confronté(e)s à ce nouveau quotidien, nous, la génération FB, nous devons faire face à un visage inconnu, celui de la Peur au ventre.
Peur de la mort, cela semble évident, mais il faut être prudent avec les évidences qui justifient le confinement et la privation de notre liberté.
Est-ce vraiment la mort qui nous effraie ? N’est-ce pas plutôt la Vie ?
Pas question ici de la survie, nous pratiquons bien l’art de survivre, mais l’art de Vivre et en plus, l’art de Vivre à pleins poumons, qu’en savons-nous vraiment ?
A pleins poumons
c’est-à-dire comme des hommes et des femmes libres. Libérés de nos multiples attachements et donc co-responsables du Vivant, au service du Vivant qui est une invitation au changement permanent, à la découverte infinie, à l’expansion, le contraire du confinement.
Bonnes promenades !